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Le maxi trimaran et le couloir du vent
L'interview
Nous sommes allés voir le maxi-trimaran qui faisait 47 m.
Donc il ne pouvait presque pas passer dessous le pont qui faisait 50 m.
Nous avons posé des questions à Kévin Escoffier. La première question était :
Pourquoi y a-t-il écrit « I am free » sur la voile et les trois coques du trimaran ?
Il ne savait pas la réponse, car il n'avait pas choisi que ce soit écrit.
La deuxième question était : Pourquoi Kévin a voulu être marin ?
C'est parce que dans sa famille il y avait des marins et des pêcheurs.
La troisième question était : Est-ce qu'il aimait le métier de marin ?
Oui, il aimait bien son métier.
Des voiliers
Un monsieur ami de Loïc nous a présenté des optimistes. Il y avait aussi le bateau-papillon,
qui avait 2 ailes pour se tenir et s'équilibrer (c'était facile de tomber). Les bateaux
des Jeux olympiques étaient là. Il y avait un petit catamaran. Il nous a montré sur un bateau
comment on dirigeait les voiles. Il nous a dit que même les handicapés pouvaient faire du bateau à voile.
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Le couloir des vents |
Dans le tube à air une collègue de Loïc a commencé par nous raconter une histoire :
« Force 1 » ça peut aller, « Force 2 » ça peut aller, « Force 3 » ça peut encore aller.
« Force 4 » ça commence à souffler, « Force 5 » il faut tenir ses cheveux,
« Force 6 » les affaires prennent le vent, « Force 7 » interdit de faire de la planche à voile.
« Force 8 » tenez vos enfants ou ils s'envolent : quel dommage ! on ne l'a pas faite.
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Le pique-nique |
On avait vraiment faim, alors on a mangé comme des ogres : le pique-nique était délicieux.
Après nous avons joué sur la pelouse, des enfants faisaient des courses et d'autres jouaient avec leurs amis.
Quelques enfants regardaient les Pen Duicks avant de partir de Nantes. Nous ne sommes pas repassés sur
le même chemin qu'à l'aller.
Nous avons bien aimé car nous avons découvert le monde maritime.
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