La Révolution n'abime pas la croissance du port. Chaque jour le tonnage global brut s'élève de plus en plus, grâce surtout à la traite négrière, il est passé de 237 716 tonnes en 1720, à 261 163 en 1792. La guerre civile, le décret d'abolition de l'esclavage de Saint-Domingue, le blocus font chuter le tonnage de 43 242 tonnes en 1807.
Mais le sable de l'estuaire complique l'entrée de Nantes aux navires très lourds. Des ports comme le Croisic servent comme avant-ports. Les marchandises sont mises sur des gabarres, et sont ramenées à Nantes.
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